Homélies Ascension

Ascension – Jeudi 13 mai 2021

Chers frères et sœurs en Christ,

Le 13 Mai prochain, nous fêterons l’Ascension. Cette fête chrétienne est célébrée 40 jours après Pâques (elle se situe entre Pâques et la Pentecôte). Elle marque la dernière rencontre de Jésus avec ses disciples après sa résurrection. Elle exprime un nouveau mode de présence du Christ, qui n’est plus visible dans le monde terrestre, mais demeure présent dans les sacrements. Elle annonce également la venue du Saint-Esprit dix jours plus tard et la formation de l’Église (fête de la Pentecôte). Elle préfigure enfin pour les chrétiens la vie éternelle.

« L’Ascension du Seigneur, célèbre l’entrée du Christ dans la gloire de Dieu, c’est à-dire la fin de sa présence visible sur terre ; elle préfigure notre vie dans l’Éternité. Son départ symbolise un nouveau mode de présence, à la fois toute intérieure, universelle et hors du temps, car le Christ reste présent dans les sacrements et tout particulièrement celui de l’Eucharistie. Croire que le Christ ressuscité est entré dans la gloire est un acte de foi » (glossaire – site de l’Église catholique en France).

A l’Ascension, Jésus ressuscité s’élève aux cieux pour entrer dans le domaine divin, laissant les hommes libres de croire, sans les contraindre par sa présence humaine. Cette dimension divine, acceptée par ses disciples, fera d’eux des missionnaires devant annoncer la Bonne Nouvelle – sens littéral du mot « évangile ». Jésus charge alors ses disciples d’une mission d’évangélisation, leur attribuant le pouvoir de réaliser des miracles en son nom.

L’Ascension de Jésus est absolument essentielle pour notre vie quotidienne. En effet, Jésus est monté au ciel pour donner un nouvel élan à notre existence terrestre. Si notre vie sur terre a un sens aujourd’hui, c’est parce que Jésus, lui, n’y est plus. Il est monté au ciel, à la droite du Père, pour régner éternellement. Le mouvement de Jésus vers le ciel produit dans notre vie un mouvement vers une mission précise, vers une tâche extraordinaire qui nous a été confiée en tant que disciples de Jésus.

Cet élan donné par Jésus, nous pousse vers l’avant dans une direction précise. Par le souvenir de l’Ascension, Jésus nous demande de lever les yeux pour contempler sa souveraineté, à la droite du Père. Par son Ascension, Jésus nous donne une mission unique : être ses témoins ; Il nous confie un message : la Bonne Nouvelle ; Il nous procure des ressources immenses : sa bénédiction ; Il nous transmet : sa joie et son amour.

Célébrons l’Ascension de Jésus en étant ses témoins sur terre !

Père Carlos PONTES

Mes biens chers Frères,

Avec la fête de l’Ascension, Jésus quitte physiquement ses Apôtres pour entrer dans la gloire de son Père. Ce temps de séparation pourrait être un moment de tristesse, de solitude mais l’évangile nous fait pressentir la joie ! Les Apôtres, après que Jésus « fut enlevé au ciel » (Marc 16,19), « s’en allèrent proclamer l’Évangile » (Marc 16,20). Comment proclamer l’Évangile, si nous ne sommes pas habités par la joie de celui-ci ? Comment les Apôtres peuvent-ils être dans la joie au moment de dire adieu à Jésus ? L’Ascension, même si à partir de ce jour-là, Jésus n’aura plus la même présence physique auprès de ses Apôtres, cela n’est pas significatif d’absence ! Comme nous l’avons prié dans la prière d’ouverture, l’Ascension « est déjà notre victoire » car le Christ nous précède dans la gloire auprès du Père où il nous rend « participant de sa nature divine » (2ème préface de l’Ascension). Jésus ne « s’évade pas de notre condition humaine : mais en entrant le premier dans le Royaume, il donne aux membres de son corps l’espérance de le rejoindre un jour » (1ère préface de l’Ascension). Cette espérance est une joie ! Dieu ne nous laisse pas seul ! Par l’Ascension de son Fils, il nous ouvre la porte du Ciel. Il nous ouvre à une intimité possible avec Lui ! Il donne sa grâce !

La fête de l’ascension inaugure pour les disciples le temps de l’Église. Notre-Seigneur n’est plus là visiblement présent, mais dans la foi nous savons qu’il ne nous abandonne pas. Cette solennité oriente nos désirs et nos aspirations vers le Ciel : que nous habitions aussi nous-mêmes en esprit dans les demeures célestes. Certes nous restons des êtres humains, des créatures incarnées, et pourtant l’enseignement de la foi nous apprend et nous rappelle que nous avons notre demeure au Ciel, c’est-à-dire en Dieu, en Jésus-Christ.

Le Christ est monté aux Cieux, après avoir accompli sa mission sur la terre. Il nous entraîne tous à sa suite et il fixe déjà nos cœurs et nos esprits là où il est Lui et où nous espérons le rejoindre un jour.

Effectivement, il nous fait en ce jour une promesse en même temps qu’il confie à ses disciples la mission d’enseigner et de baptiser. Cette promesse, la voici : et moi je suis avec vous jusqu’à la fin des temps. Certes le Christ disparaît aux yeux des apôtres, mais il reste là présent en agissant par son Saint-Esprit et par les Sacrements qu’il confie à l’Église. Il nous promet l’Esprit Sain, le Défenseur, celui qui vient au secours de notre faiblesse, qui nous remplit de sa présence et de sa paix. C’est l’Esprit qui fera des apôtres, de nous, les témoins audacieux, infatigables, courageux et persévérants de la Résurrection du Christ et de la vérité de l’Évangile.

C’est donc par la célébration des sacrements que Jésus accomplit sa promesse d’être avec nous, ses disciples, jusqu’à la fin des temps. Et particulièrement dans et par le grand sacrement de l’Eucharistie. Il vient en nous, il fait chez nous sa demeure, il se manifeste dans notre condition de tous les jours, il nous éclaire par sa parole et sa présence, il se donne à nous pour que nous puissions à notre tour nous donner les uns aux autres, comme il le fit lui-même dès le premier instant de son apparition sur cette terre. Il veut que nous l’imitions et que nous soyons ses disciples.

Cette joie s’accueille, se reçoit également, dans la mesure où je prends ma part dans l’annonce de l’Évangile ! Il ne suffit pas de regarder béatement le ciel… (Cf. Actes 1,11) il est nécessaire d’aller proclamer dans le monde entier l’Évangile à toute la création ! (Cf. Marc 16,15). Oui, nous serons habités par la joie de Dieu dans la mesure où nous aurons l’audace d’annoncer l’Évangile non pas uniquement à notre voisin, notre collègue de travail mais à toute la création ! Qu’est-ce qu’annoncer l’Évangile ? C’est risquer une parole ! C’est risquer de dire à celui que je rencontre qu’il est aimé de Dieu !

Frères et sœurs, ce temps de l’Ascension est une invitation pour chacun de nous, là où nous sommes, dans la situation où nous sommes, à renouveler notre rencontre personnelle avec le Christ ou, comme l’écrit le pape François, « à prendre la décision de se laisser

rencontrer par lui, de le chercher chaque jour sans cesse. Il n’y a pas de motif pour lequel quelqu’un puisse penser que cette invitation n’est pas pour lui, parce que personne n’est exclus de la joie que nous apporte le Seigneur » (Pape François Evangelii Gaudium, n°3).

Pour nous, comme les Apôtres, nous sommes témoins de la victoire du Christ sur la mort, « nous nous en allons prêcher en tout lieu », c’est-à-dire là où Dieu nous a placés pour que nous y portions du fruit ; car le Seigneur ressuscité agit avec nous ; l’Esprit vit en nous.

L’Évangile est une force de libération et de changement. Nombreuses sont les personnes qui se sont transformées par la foi. Au contact de Jésus, elles ont changé leur vie. Exemple : Pierre et les apôtres, Marie Madeleine, Zachée, la Samaritaine… Et plus tard, Paul et Barnabé, François d’Assise, Thérèse d’Avila, Charles de Foucault, Paul Claudel, Madeleine Delbrêl… Il y a une liste interminable de personnes qui ont réorienté leur vie à cause de leur foi en Jésus-Christ et aujourd’hui encore cette longue chaine de conversion se poursuit.

Le message de Jésus en ce jour de l’Ascension c’est que les disciples sont en mesure d’activer cette force de libération, de transformation et de combattre le mal sous toutes ses formes. Chaque dimanche, nous nous réunissons en Église pour écouter la parole de Dieu et partager la vie du Seigneur. À la fin de l’eucharistie, nous sommes invités à retourner dans nos familles, dans notre milieu de vie : « Ne restez pas là à regarder vers le ciel », « allez dans la paix du Christ ». Retournez dans votre Galilée, c’est-à-dire dans vos foyers, dans vos familles, à votre travail, là où la « mission » vous attend. « Mettez la main à la pâte. Luttez contre le mal. Chassez les esprits mauvais, parlez un langage nouveau, accompagnez les malades qui s’en trouveront mieux. Vous pouvez vaincre le mal car je suis avec vous tous les jours et mon Esprit vous accompagne, nous dit le Seigneur. Je travaille avec vous et confirme la Parole par des signes d’apaisement, de bien-être et de paix ». Amen.

Père Carlos PONTES

NOTRE-DAME DE VINCENNES HOMELIE DE L’ASCENSION 13 MAI 2021

Frères et sœurs nous célébrons aujourd’hui la fête de l’Ascension. Nous savons que depuis le Concordat voulu par Napoléon en 1801 la fête de l’Ascension fut retenue dans le calendrier comme une fête chômée parce qu’elle avait toujours eu en France une prééminence comme la Toussaint, l’Assomption (avant la Révolution fête nationale de notre pays) et Noël.

La première lecture extraite des Actes des Apôtres (Actes 1,1-11) comme le passage de l’Evangile selon Saint Marc (Marc 16,15-20) nous rapportent l’événement de l’Ascension du Seigneur auquel assistent les apôtres quarante jours après Pâques. Toutes les lectures bibliques d’aujourd’hui nous parlent de l’enlèvement au ciel du Seigneur et de sa montée (Ephésiens 4,8).

L’Ascension certes nous est rapportée comme un événement mais il s’agit d’abord d’une apparition de Jésus ressuscité  à ses apôtres, d’une expression de sa résurrection et c’est là-dessus que j’aimerais m’arrêter quelques instants tant il est vrai que nous avons tous besoin d‘approfondir le sens de la résurrection de Jésus.

1-Il y a en somme trois verbes pour désigner la résurrection de Jésus dans le Nouveau Testament. Je ne vais pas vous donner toutes les références bibliques mais à travers une courte synthèse j’aimerais vous faire sentir ce que le témoignage chrétien veut exprimer à ce sujet :

Jésus était mort, plongé dans le sommeil de la mort après sa Passion et Il s’est réveillé (le verbe égeirô en grec). Dieu le Père l’a réveillé. Le psaume 120 (verset 4) dit : « Non il ne dort pas, ne sommeille pas le gardien d’Israël » ; l’Évangile de Jean dit de son côté : « Mon Père et moi nous sommes toujours à l’œuvre (Jean 5,17) » Certes, Dieu s’est reposé selon le livre de la Genèse au terme de son œuvre de Création le septième jour qui est le sabbat (Genèse 2,2) mais le premier jour de la semaine, jour de la résurrection du Seigneur Jésus, est le jour où l’œuvre de Dieu, l’œuvre de création et de recréation se déroule :  c’est le dimanche. Jésus est donc l’Eveillé, le veilleur par excellence. D’autres religions nous  présentent dans leur panthéon un être éveillé comme le Bouddha bien sûr. Nous chrétiens nous ne nous en moquons pas et croyons discerner dans les autres recherches religieuses et expressions de foi comme des « pierres d’attente » de la révélation pleine apportée et accomplie par le Christ. Nous croyons aussi que la Résurrection du Seigneur nous appelle dans son sillage à demeurer éveillés et attentifs aux « signes des temps » que nous n’interprétons pas nécessairement comme annonciateurs d’une catastrophe finale imminente. Nous ne sommes pas des catastrophistes !

Réveillé, le Christ s’est remis debout (le verbe anistèmi en grec). Une fois réveillé, nous nous levons et si chaque matin nous nous levons alors que nous pourrions être terrassés par le désespoir ou la maladie c’est parce qu’une force en nous nous intime comme l’ordre de nous lever pour exprimer la dignité fondamentale de l’être humain : être debout ! Combien de fois suis-je saisi par ces personnes handicapées, en fauteuil roulant pour certaines, et qui sont des « hommes debout ». Plusieurs depuis que je suis prêtre et que j’ai été en contact avec des personnes handicapées m’ont frappé par leur courage et leur dignité. Oui l’être humain est un être debout dans sa tête mais pas toujours dans ses jambes et les recherches des paléontologues ont démontré depuis longtemps que cette position debout est la marque de l’hominisation, le fait d’être homme, tandis que d’autres animaux sont restés à quatre pattes. Songeons aux petits enfants et à la joie qu’ils éprouvent et nous qui les accompagnons lorsqu’ils cessent de ramper et se lâchent en faisant leurs premiers pas. Saint Irénée disait : « La gloire de Dieu c’est l’homme vivant ! » Cet homme vivant est debout et dans sa résurrection Jésus nous le confirme : Dieu veut devant lui des êtres debout à la suite de son Fils qui nous a confirmé la dignité humaine comme signe de résurrection !

Le troisième vocable de la résurrection c’est l’exaltation du Christ comme une sorte de superlatif achevant ce mouvement de réveil, de la stature debout. On retrouve cela dans un texte fameux de saint Paul : « C’est pourquoi Dieu (le Père) l’a élevé (Jésus) et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom… » (Philippiens 2,9). Ce mouvement d’élévation est bien entendu présent aujourd’hui dans cette célébration de l’Ascension du Seigneur. L’exaltation n’a donc rien à voir avec une sorte d’enthousiasme béat et un peu niais mais exprime bien la promesse, la signature, l’ouverture de la résurrection : Celui qui est descendu du ciel à la rencontre des hommes, celui  qui était dans le sein du Père et s’en est comme détaché pour venir connaître notre chair humaine est aussi Celui qui retourne au Père sa mission achevée. De ce fait il nous indique notre orientation, notre destination. Il s’agit d’une promesse : nous aussi sommes invités à parcourir déjà ce chemin de résurrection en étant éveillés, debout et vivant de l’exaltation du Seigneur « au plus haut des cieux ».

2-Nous avons aussi entendu le passage de Saint Marc qui rapporte l’ultime rencontre du Seigneur ressuscité avec ses apôtres ainsi que la mission qu’Il leur confie avant son Ascension:
« Allez dans le monde entier. Proclamez l’Evangile à toute la création… » (Marc 16,15).
Le texte se poursuit de cette façon : « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui refusera de croire sera condamné. » (Verset 16).
Un tel verset peut nous interroger parce que le propos est incisif et semble sans appel : si tu crois et es baptisé tu seras sauvé. Sinon tant pis pour toi ! Il est bien dommage que nous n’ayons pas entendu en ouverture de ce texte le verset 14 que je souhaite vous faire aussi entendre :
« Enfin, il se manifesta aux Onze eux-mêmes pendant qu’ils étaient à table : il leur reprocha leur manque de foi et la dureté de leurs cœurs parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient contemplé ressuscité. »

L’Evangile nous dit donc que les premiers à ne pas croire furent les apôtres endurcis dans leur cœur (cette expression rappelant d’ailleurs l’endurcissement du peuple d’Israël au désert qui lui valut une si longue traversée pendant quarante ans).Ils ne croyaient pas, ils ne parvenaient pas à croire comme me le disent parfois certaines personnes. La peur les avait alourdis et recouverts d’un profond sommeil qui les avait paralysés (comme à Gethsémani en Luc 22,45). Et comment ont-ils pu croire si ce n’est parce que le Seigneur ressuscité s’est manifesté à eux en habitant leur incroyance, en les aimant quoiqu’« incroyants » ? N’allons pas trop vite condamner ceux qui « refusent de croire »  alors que l’incroyance nous habite les premiers ! Cultivons la foi que nous recevons comme un don de grâce de la part de Dieu. Peut-être aussi  faut-il faire tout ce parcours de résurrection suggéré par les trois verbes que je vous ai présentés pour prendre confiance en nous et croire que le Seigneur est décidément la bonne nouvelle de notre vie !

3-J’aimerais terminer par deux versets  de la lettre aux Ephésiens que nous avons entendus en deuxième lecture :
« Que veut dire : Il est monté ?Cela veut dire qu’il était d’abord descendu dans les régions inférieures de la terre. Et celui qui était descendu est le même qui est monté au-dessus de tous les cieux pour remplir l’univers. » (Ephésiens 4,9-10)

Saint Paul avec son génie propre  exprime ici en deux versets la vision cosmique de l’événement que constitue la Résurrection du Christ. Il n’y a pas de résurrection du Seigneur s’il n’y a pas déjà son incarnation, sa venue en notre chair, en notre histoire, en nos vies humaines. La vie, l’œuvre du Christ, sa Parole, sa présence concernent notre terre, notre histoire humaine : voilà pourquoi le Christ nous est « vital ».

Mais, Paul en nous parlant de l’univers (en grec « ta panta », c’est-à-dire « toutes choses ») nous invite à un regard total si je puis dire, cosmique. Oui, la puissance de la résurrection du Christ concerne l’univers entier. A l’heure où l’être humain est à la fois pris entre un virus qui nous étreint, nous isole, nous rapetisse et une capacité toujours plus grande de se dépasser au point d’aller sur Mars il nous est bon aussi d’entendre que la Résurrection et l’Ascension du Seigneur renouvellent l’univers entier, lui offrent une perspective infinie dans laquelle nos « pauvres vies » sont inscrites leur signifiant ainsi leur grandeur malgré leurs apparentes misères. Tout cela est annoncé dans l’Ascension du Seigneur, le Fils de Dieu, l’homme total, accompli, notre guide ! (cf. Ephésiens 4,13)
Que l’Ascension du Seigneur nous renouvelle profondément et nous apporte la joie profonde promise par le Seigneur à ses disciples !
Amen.

                                                                                           Père Stéphane AULARD

HORAIRES de MESSES

MESSES de SEMAINE
mardi, jeudi : messe à 9h00
lundi, mercredi : messe à 19h00
vendredi : messe à 11h30 *, 19h00
                                adoration de 19h30 à 20h00*
Samedi : messe à 9h00 *

( * hors vacances scolaires)

MESSES DOMINICALES
Samedi : messe anticipée 18h00
Dimanche : messe à 9h30, 11h00 et 18h00

MESSES
à la chapelle Saint Jean Sainte Thérèse 
1 samedi par mois à 18h00 
18 novembre, 24 décembre, 20 janvier, 10 février, 23 mars, 27 avril, 18 mai et 15 juin 2024

MESSES DU SOIR
Dimanche 18h - Louange, Messe et Apéro
Préparé et animé par les jeunes
8 octobre, 19 novembre, 10 décembre, 14 janvier, 4 février, 10 mars, 7 avril, 26 mai, 30 juin 2024


César MONNIER SANTROT

Miranda GENEVOIS
Léon LABORIE
Paul BAMBA FORGET
Hortense GALLIENNE
Bianca HO-HIO-HEN
Antoine de FUENTES SAPALY
Lise BARLET
Devenus enfants de Dieu par le Baptême

Claudette BASTARD
Pierre DEFERREZ
Jean-Pierre LALLIER
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